Placebo cru 2009

Publié le par géraldine

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Je m'obstine encore avec Placebo. Voilà 11 ans que je suis ce groupe un peu weerd à ses débuts, puis de plus en plus commercial...
Je me souviens qu'Europe 2 ne voulait pas le dédicacer avant minuit au début des années 2000 et pas n'importe quel titre.
Avant même qu'on l'entende à n'en plus pouvoir avec Bitter end, dans les compils NRJ. (Ouille le grand écart !)
Pas certaine que le virage vers la lumière soit si total et flagrant. A voir à ce propos le clip de For what it worth et quelques histoires de suicide.
Le résultat (en 30 secondes par titre) semble honorable, pas si novateur malgré des efforts sur les choeurs, une batterie nerveuse.
Mais pas de whithout you i'm nothing.

En espérant que leur sobriété et le sourire crispé de Brian Molko leur servent sur scène : que donne Placebo à jeun ?
Une sorte de groupe hyper intimidé comme sur le plateau de Taratata.

Reste la classe de Get Well Soon (peut être pas à jeun), mais dont la sobriété scénique fait plaisir à voir.

 

Publié dans musique

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M
J'ai entendu dire que Brian Molko était très intelligent... La première fois que je l'ai vu en interview son français m'a bluffée. Placebo, c'est du Luxembourg non ?
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G
<br /> Il a l'air de l'être. Il aime aussi la provoc gratuite en interview et c'est pas toujours d'une grande finesse.<br /> Il est américain et écossais avec une enfance et une adolescence vécues au Luxembourg avec le bassiste.<br /> <br /> <br />